Avr 10
28
Selon une étude américaine du Chief Marketing Officer Council (CMOC), les ordinateurs seraient source de « stress informatique ».
« Les ordinateurs sont devenus tellement importants qu’ils sont devenus une épée à double tranchant », souligne Murray Feingold, un médecin cité dans cette étude. « Quand ils fonctionnent bien, (les ordinateurs) sont formidables. Mais quand quelque chose ne va pas, nous paniquons tout de suite – c’est ce que j’appelle le syndrome du stress informatique. »
Sur le panel de 1000 personnes interrogées, 64 % indique que leur « ordinateur a déjà été source d’angoisse ou d’anxiété ». Les causes principales sont les ralentissements du système (51 %), la lenteur au démarrage (36 %), les infections par des virus (16 %), l’impossibilité de se connecter à Internet (15 %), ou le réseau Wi-Fi instable (14 %).
64 % des sondés ne font appel à aucun professionnel, en essayant soit de réparer seul la panne (37 %), de faire appel à un membre de leur famille ou à un ami (18 %), en en ne faisant rien du tout (9 % !).
Seuls 15 % appellent une hotline ou se rendent chez un réparateur (7 %), à cause du prix, de l’inefficacité ou de la longueur d’attente au téléphone.
via Le Monde

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Juin 09
18
Vu sur LeParisien.fr :
Les citoyens « experts » veulent débrancher le Wi-Fi
Vingt Parisiens ont été missionnés pour plancher sur le Wi-Fi et les antennes-relais. Nous révélons en exclusivité leurs recommandations, rendues publiques demain.
De la prudence. C’est ce que les vingt Parisiens de la Conférence citoyenne sur les ondes vont recommander ce soir à Bertrand Delanoë au sujet des ondes électromagnétiques. Ces citoyens représentatifs, sélectionnés selon la méthode des quotas, avaient été chargés le 2 mars dernier de réfléchir à cet épineux sujet.
« Il faudrait que les opérateurs mutualisent leurs installations »
Dimanche, ces experts se sont réunis toute la journée pour finaliser leur rapport que l’Hôtel de Ville doit rendre public ce soir. A l’exception de l’un d’eux, ils sont unanimes : en attendant une étude incontestée et incontestable sur les effets sanitaires des ondes, il faut appliquer le principe de précaution.
Ces citoyens recommandent ainsi à la mairie de Paris de débrancher le wi-fi dans les établissements publics, comme les bibliothèques, en utilisant désormais les connexions filaires. Ils appellent aussi à la réduction du nombre d’antennes dans la capitale en évitant leurs implantations sur les toits des bâtiments publics et immeubles sociaux. « Il faudrait que les opérateurs mutualisent leurs installations », explique un membre du panel. La conférence plaide par ailleurs pour un abaissement du seuil d’exposition aux ondes des riverains à 0,6 volt/mètre (contre les 2 volts/mètre fixés aujourd’hui par la charte parisienne). Ils préconisent en outre une meilleure information du public avec des campagnes menées dans les écoles ou des panneaux informatifs et pédagogiques dans les magasins de téléphonie mobile.
La mairie de Paris suivra-t-elle ces recommandations ? Après avoir parié sur la démocratie participative, elle pourra difficilement mettre de côté le rapport des citoyens. « Les réflexions de la conférence citoyenne nourriront le travail que nous mènerons lors de la renégociation de la charte avec les opérateurs de téléphonie mobile à la fin de l’année », avait annoncé la première adjointe, Anne Hidalgo, lors du lancement du processus le 2 mars. Quelles que soient les décisions finales, les associations qui bataillent contre la prolifération des antennes viennent de remporter une victoire : les experts de la société civile se sont rangés à leur avis.

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Mai 09
13
Sainte-Geneviève, Sainte-Barbe, la bibliothèque des Langues orientales, le centre de documentation de la faculté de Censier : autant de bibliothèques universitaires dépendant toutes de l’université Sorbonne-Paris-III et qui seront désormais privées de Wi-Fi.
La dernière réunion du comité d’hygiène et de sécurité de l’université a en effet décidé un moratoire sur l’utilisation des bornes Wi-Fi dans ses bibliothèques. Cette décision, marquée du sceau du principe de précaution, a été annoncée par le syndicat FSU.
L’impact des ondes électromagnétiques sur la santé figure au menu des travaux d’une « table ronde radiofréquences, santé et environnement » qui a été lancée le 23 avril au ministère de la santé.
via LeMonde.fr avec AFP

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Avr 09
3

Le mardi 21 avril 2009 à 14h30, le professeur Michèle Rivasi, agrégée en biologie de l’Ecole normale supérieure et fondatrice de la CRIIRAD et du CRIIREM, répondra à vos questions en direct.
Vous pouvez d’ors-et-déjà poser vos questions en avance, ou vous inscrire pour recevoir une alerte par email 1 heure avant le chat.
via Le Monde

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Jan 09
6

Le syndicat Supap-FSU dénonce le refus de la ville de Paris d’inviter le Professeur Belpomme au prochain comité d’hygiène et de sécurité (CHS) de la direction des affaires culturelles.
Les réseaux Wi-Fi des bibliothèques de la capitale avaient été rebranchées en novembre 2008 suite à plus d’un an d’indisponibilité.
« Nous voulions déplacer le débat d’un aspect purement technique à un aspect sanitaire. Le syndicat avait mis cette question à l’ordre du jour avec l’intervention du professeur Belpomme mais il a été réfuté par Christophe Girard [adjoint PS chargé du Patrimoine à la Ville de Paris], sous prétexte que ce n’était pas au CHS de se saisir de cette question », raconte Agnès Dutrévis, déléguée Supap-FSU.
« Les mesures d’ondes électromagnétiques ont été faites dans ces établissements et elles sont 80 à 400 fois inférieures aux normes, oppose la Mairie de Paris. Le CHS n’est pas le lieu pour débattre à huis clos de la législation. »
« On a certainement refusé ma présence car on connaît ma position sur le sujet, estime pour sa part le professeur Dominique Belpomme. J’ai examiné ces employés de bibliothèque en consultation, et ils subissent une vraie maladie. » Il ajoute que « les scientifiques ne sont pas du tout écoutés, la santé est bradée pour des enjeux économiques à court terme. Au début, c’était un combat contre les lobbies, mais aujourd’hui c’est politique. Un jour, il y aura un effet boomerang pour les élus. » Et la Mairie de réagir : « Nous allons organiser une conférence citoyenne sur le sujet en février, c’est un moyen de replacer le débat là où il doit être. »
Le syndicat souhaite porteur plainte au tribunal administratif.
Pourtant, plusieurs études (Afsset, …) démontrent une exposition aux ondes très faible par rapport aux normes en vigueur.
via 20mn

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