Par Thomas

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Le Centrino 2 a été livré par Intel sans son module WiMAX (voir notre information d’hier). ZDNet nous indique que, comme prévu, un module supplémentaire permettra de rajouter cette technologie d’ici 6 mois, mais seulement aux Etats-Unis et au Japon !

Le WiMAX ne sera donc pas disponible sur la plateforme Centrino 2 en Europe ! C’est un nouveau coup dur pour le déploiement du WiMAX en France.

« Nous n’empêcherons bien entendu pas un constructeur de nous l’acheter, mais nous n’anticipons pas de commandes car il n’y a quasiment pas de réseaux compatibles », explique-t-on chez Intel France.

« Le WiMAX fonctionne sur la bande de fréquences 2,5 Ghz au États-Unis, au Japon et en Russie, alors qu’en Europe, il utilise la bande des 3,5 Ghz », poursuit-on chez Intel France.

De plus, le WiMAX mobile n’est pas prévu en Europe, faute de licences octroyées par les divers régulateurs de télécommunications des pays européens.

L’Europe préfère se concentrer sur la 4G LTE pour les utilisations mobiles en haut débit, prévue pour 2012. L’Arcep devrait lancer une consultation publique sur le sujet en 2009. La Suède et la Norvège ont déjà lancé des expérimentations 4G depuis l’année dernière.

via ZDNet

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Par Thomas

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Intel livrera cette semaine sa nouvelle plateforme Centrino 2 avec le Wi-Fi (pré-802.11n version 2.0), mais sans le WiMAX. Pour cette dernière technologie, il faudra attendre la fin de l’année.

HP, Lenovo, Fujitsu et Toshiba ont indiqué leur intérêt pour la plateforme d’Intel.

via Network World

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Par Thomas

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Free-Hotspot, opérateur irlandais possédant plus de 3 000 hotspots Wi-Fi à travers l’Europe, a déployé son réseau dans les aéroports bretons de Quimper et Lannion.

C’est une bonne nouvelle pour les voyageurs qui n’auront pas à payer des tarifs excessifs pour surfer avant de prendre l’avion.

Le modèle économique de Free-Hotspot semble plutôt bien marcher : l’installation et l’abonnement à l’ADSL est payé par la structure (l’aéroport dans ce cas), et les utilisateurs peuvent surfer à partir du moment où ils ont regardé une publicité de 20 secondes toutes les 30 minutes. La structure perçoit 10% des revenus, et Free-Hotspot garde le reste.

D’autres aéroports pourraient suivre et remplacer leurs hotspots payants par des hotspots sponsorisés (dès que leurs anciens contrats de 3 à 5 ans se terminent).

Verront-on un jour l’ensemble des aéroports proposer un service similaire ?

via LePoint

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Par Thomas

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Le 16 mai dernier, les deux bornes Wi-Fi de la bibliothèque Sainte-Geneviève (Place du Panthéon) avaient été déconnectées suite à la plainte d’employés souffrant de maux de têtes.

Des mesures ont été effectuées pour connaître l’ampleur des ondes émises par les bornes, et il en ressort que le taux de radiation est 135 fois inférieur à la norme en vigueur. Le CHS (Comité Hygiène et Santé) a donc donné un avis favorable à la remise en route de ces bornes.

« Les mesures ont même prouvé que les ondes dans nos locaux étaient inférieures à celles dans la rue, sans doute à cause de l’épaisseur de nos murs », explique le directeur de la bibliothèque, Yves Peyré.

Pourtant, le syndicat FSU estime qu’il subsiste un « danger grave pour la santé », et refuse la réactivation du Wi-Fi.

via Libération

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Par Thomas

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Eric Brewer, professeur de l’université de Berkeley (Etats-Unis), souhaite voir se déployer le Wi-Fi en Afrique.

Ainsi, sa vision consiste à connecter Gibraltar au Ghana en passant par le Maroc, l’Algérie, le Mali et le Burkina Faso. Cela nécessite de traverser le désert du Sahara, ce qui n’est pas chose facile.

Le professeur souhaite voir apparaître un lien de plusieurs Mb/s pour amener du haut débit abordable à partir d’un pays développé jusqu’à un pays où il est très difficile d’avoir accès à ce type d’infrastructure.

« Même si ce projet peut sembler fou, je pense qu’il a le mérite d’être moins cher que d’autres déjà présentés. Si ça marche, le réseau pourra être amélioré dans le futur afin de fournir une meilleure bande passante, jusqu’à installer de la fibre », nous dit le professeur.

Il ajoute que « la clé serait de se passer de tours, et d’exploiter à la place le relief (comme l’Atlas au Maroc ou le Hombori Tondo au Mali) ».

L’idée d’Eric Brewer semble produire son effet, qui consiste à inciter les gens à voir plus loin. Et si le Wi-Fi permettait de préparer le terrain avant l’implantation de la fibre, seule solution pour désenclaver durablement les zones blanches ? De plus, la fibre peut servir d’épine dorsale, tandis que les réseaux hertziens (comme le Wi-Fi) peuvent atteindre le dernier kilomètre considéré comme le plus difficile à relier au réseau.

On se rappelle que l’équipe de Berkeley avait aidé des hôpitaux indiens à réaliser des opérations ophtalmologiques à distance grâce au Wi-Fi, permettant à plus de 3 000 patients de retrouver la vue. La même équipe avait participé au record du monde de lien Wi-Fi au Venezuela (382 km).

Source : EETimes

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