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Utilisation du réseau Ozone à Paris

«A terme, tous les objets du quotidien (la montre, le réfrigérateur, la télé..) vont devenir communicants.» Rafi Haladjian, fondateur d’Ozone arc Cabiling fait parti d’un petit club d’une centaine de veinards, tous ou presque logés à Paris dans le XIIIe arrondissement. Marc dispose d’une connexion Internet à super haut débit pour zéro euro par mois. Mieux que toutes les offres affriolantes lancées ces derniers temps. Sa chance, il l’a saisie, «un peu par accident». Ce spécialiste en développement dans une petite société high-tech pianotait un jour de décembre sur son PC portable, quand il a «accroché, comme il dit, un signal wi-fi». Pour le profane, wi-fi est une technologie fort en vogue capable de faire communiquer sans fil et à très haut débit toutes sortes d’instruments (ordinateurs, assistants personnels, chaînes hi-fi…). Il permet de partager une connexion Internet entre plusieurs PC, aussi bien à la maison que dans les cafés ou les aéroports (hot spots), mais aussi à l’air libre.

Antenne. Dans le cas de Mark Cabiling, le signal venait du dehors comme descendu du ciel et il a tout de suite repéré l’origine du signal. Sur son PC, s’est affiché la page d’accueil d’Ozone, la petite start-up à l’origine de ce réseau haut débit tout à fait inédit. On lui demande de s’identifier. Ce qu’il fait. Mais le signal est très faible. Sa fenêtre, située sur la rue Nationale, est mal orientée. L’antenne wi-fi de son quartier, plantée sur le toit d’un immeuble à trois cents mètres de là, regarde vers les façades de l’autre côté de sa rue. Et le signal, réfléchi par l’immeuble d’en face, lui revient assourdi. Qu’à cela ne tienne, l’ingénieur d’Ozone va venir fixer gracieusement sur sa fenêtre une minuscule antenne pour amplifier les ondes.

Aujourd’hui, Marc Cabiling est devenu un prosélyte et il pavoise : «J’ai un débit moyen de 2,5 mbps avec des pointes à 4 mbps, et surtout la même vitesse dans les deux sens.» Soit cinq fois mieux qu’une connexion standard (ADSL à 512 kbps) pour la réception et même 20 fois mieux en émission. Pour l’instant, seul un quartier du XIIIe arrondissement de Paris, vers la porte d’Ivry, est couvert (voir sur www.ozoneparis.net). Mais Ozone commence à tisser la toile (1). En vue, une extension vers la place d’Italie, vers le quartier Latin et le nord de Paris. «On cherche en ce moment des points hauts», explique Loïc Dequay, l’ingénieur.

Rafi Haladjian, le fondateur d’Ozone, précise : «On est au tout début du démarrage. Mais on veut couvrir tout Paris.»

Financement. Sa démarche n’est pas pour autant de devenir un énième opérateur de réseau. Mais plutôt l’exact contraire. Il n’a pas encore découvert la formule qui fera de l’opération wi-fi une activité rentable ou même juste équilibrée. Pourtant, Rafi Haladjian n’est pas un rêveur, il a créé en 1994, avec Francenet, un des premiers fournisseurs d’accès Internet. Puis il développe une start-up, Fluxus, revendue un bon prix en 2001 à British Telecom. Les minuscules bureaux d’Ozone sont installés fort à propos à l’entrée de l’immeuble de British Telecom à Paris dans le XIIIe, juste à l’aplomb du «backbone» de l’opérateur britannique, une grosse fibre optique dans laquelle s’engouffre le trafic wi-fi du quartier pour communiquer avec le monde Internet.

Ozone paie pour cette liaison, mais ne la facture à personne. Son fondateur est dans une démarche expérimentale. «A terme, tous les objets du quotidien (la montre, le réfrigérateur, la télé…), et pas seulement les ordinateurs ou les téléphones mobiles, vont devenir communicants. C’est ce qu’on appelle un réseau « pervasif ». Ozone veut construire ce réseau-là.» L’expérimentation wi-fi n’est qu’une première étape. La technologie wi-fi n’est pas parfaite, mais elle se prête bien au développement d’un réseau pervasif : comme les éléments de base sont bon marché, chacun peut construire son bout de réseau. «Avant, seuls les riches pouvaient créer une infrastructure.

L’UMTS (la téléphonie mobile de troisième génération), dessiné d’en haut et hypercoûteux, en est, dit-il, le parfait exemple. «Au contraire, le réseau pervasif n’appartient à personne, c’est une construction collective.» A l’association Paris sans fil, Guénaël Amieux suit avec intérêt la progression. Animateur du mini-réseau Goncourt (deux, trois personnes dans cinq immeubles reliés par wi-fi et se partageant la même connexion ADSL), Guénaël connaît la difficulté. «Nous voulions créer des petits réseaux de quartier et les relier entre eux, mais ce schéma s’est révélé plus complexe que prévu.» Il est ravi que Rafi Haladjian s’attelle à cette tâche-là : «Rafi a l’intuition que c’est dans cet écosystème des réseaux pervasifs que naîtra l’Internet de demain.» Bientôt, tous les objets vont spontanément dialoguer, et «il est impensable que des opérateurs taxent toutes ces conversations».

Le blog de Marc Cabiling Connexion au réseau Ozone

Source : Liberation

Catégorie : General

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15 commentaires sur “Utilisation du réseau Ozone à Paris”

  1. Zorro, le 26 février 2004 à 17:39 a dit:

    ‘Tain, tu te fais pas chier de voler intégralement le contenu du travail des autres… Tu pourrais prendre la peine de faire un résumé puis un lien, quand même.


  2. Cela doit etre interdis en plus !!
    bon thomas fait qlq chose !!


  3. J’ai posté cette news avec la source tout en bas … Ce blog regroupe un ensemble d’articles trouvés à droite et à gauche, ainsi que des nouvelles que je rédige par moi-même !


  4. C’est interdis de recopier en entier un articles !


  5. XXX, le 27 février 2004 à 9:16 a dit:

    "L’utilisateur
    L’utilisateur du site s’engage pour sa part à respecter les règles de propriété intellectuelle des divers contenus proposés sur le site c’est-à-dire :

    À ne pas reproduire, résumer, modifier, altérer ou rediffuser, sans autorisation préalable de l’éditeur, quelque article, titre, applications, logiciels, logo, marque, information ou illustration, pour un usage autre que strictement privé, ce qui exclut toute reproduction à des fins professionnelles ou de diffusion en nombre.

    À ne pas recopier tout ou partie du site sur un autre site ou un réseau interne d’entreprise.
    "

    http://www.liberation.fr/service...
    Comme ca tu vas nous croire 😉


  6. Zorro, le 27 février 2004 à 10:11 a dit:

    Thomas, rajouter la source ne suffit pas, et ne donne pas le droit de voler le travail des autres. Les textes de Libé ne sont pas sous licence libre, que je sache ! Bon, sinon, ton site est intéressant et instructif, là n’est pas le problème.


  7. Invité surprise, le 28 février 2004 à 17:27 a dit:

    Il vole pas il copie comme le fait tous les sites de news qui existe sur terre en citant la source ce qui posent jamais de problème depuis que le site de news ne dit pas que c’est lui qui a fait l’article.

    Sauf quand un gars comme toi vient foutre sa merde (désoler du terme)


  8. Zorro, le 28 février 2004 à 18:15 a dit:

    Ben si, il vole, c’est tout.
    Il a pas le droit de faire ça, point, c’est comme ça et puis c’est tout. En dehors des licences libres, les mecs qui font du copier-coller sont la plaie de l’internet.
    Et heureusement, contrairement à ce que tu dis, que tous les sites d’info font pas que pirater l’info des autres. En tout cas ceux que je visite souvent, ceux de la cour des grands (c’est à dire ceux écrits par des vrais rédacteurs-journalistes, qui font pas 15.000 fautes par papier comme chez pcinpact ou dans leur post comme tu viens de le faire), ils prennent la peine de faire des résumés eux-mêmes, ou d’écrire en entier eux-même.


  9. Invité suprise, le 29 février 2004 à 0:01 a dit:

    Ben non, voler et copier c’est différent :

    Voler: prendre l’objet de l’auteur et l’auteur après le vole ne le possède plus.
    Copier : faire une copie de l’objet de l’auteur et l’autre à toujours son oeuvre.

    perso je préfère qu’on copie ma voiture plutot qu’on la vole 😉

    Tu crois franchement que des webmaster amateurs (cad qui sont pas payé pour ce qu’il font et qui ne bosse pas à plein de temps dessus ) peuvent faire comme les sites de la "cours des grand" ?
    Si tu aime pas ce site ne vient pas dessus mais ne poste pas tes critiques qui servent juste à démolire le site.


  10. X, le 1 mars 2004 à 8:02 a dit:

    Il a copié l’article entierement alors que libé fait payer ces papiers ou archives, c’est donc comme reproduide illégalement un CD.


  11. XXX, le 1 mars 2004 à 8:03 a dit:

    Pourtant j’ai mis plus haut et personne a lu:

    "À ne pas recopier tout ou partie du site sur un autre site ou un réseau interne d’entreprise.
    "

    http://www.liberation.fr/service...


  12. Zorro, le 1 mars 2004 à 14:52 a dit:

    Y en a qui font vraiment semblant de pas comprendre. Ou alors qui sont idiots – c’est possible aussi, après tout.
    Très subtile, ta différence entre copier et voler ; on voit que tu connais rien au droit, toi. T’essayeras de l’expliquer au juge, ok ? On verra si t’arrives à le convaincre.
    En matière de propriété intellectuelle, copier un contenu qu’on n’a pas le droit de copier, c’est un vol, et puis c’est tout.
    Et pour ta gouverne, je connais plein de webmestre amateur qui font un contenu original ; suffit de se donner un peu la peine, et d’avoir un peu de talent.
    Si Thomas, qui semble ne pas respecter grand chose, se prend un jour un courrier des avocats de Libé, tu verras qu’il fera moins le malin.


  13. Suprise invité, le 2 mars 2004 à 0:09 a dit:

    Oui mon grand tu sais tout toi,t’es le justicier masqué c’est vrai, arrete de regarder les films américains et puis c’est tout.


  14. Sergent Garcia, le 10 mars 2004 à 15:51 a dit:

    Au passage… si on fait "réseau Goncourt" sur google.fr, cette page tombe en troisième réponse…
    Pas très discret non ?!
    S’agit pas de tout savoir ou d’être un quelconque justicier, s’agit de ne pas se faire remarquer, y’a assez de procès et de tentatives de surveillance des sites perso comme ça !


  15. Johnny B. Goode, le 16 mars 2004 à 14:14 a dit:

    Et a part toutes ces remarques constructives, quelqu’un a-t-il testé ?


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